LE PROJET BLEIBERG (Tome 1) de David S. Khara
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LE PROJET BLEIBERG DE DAVID S. KHARA
LE PROJET BLEIBERG (Tome 1) de David S. Khara
Ven 10 Juin 2011 - 20:31
Résumé :
« Depuis hier, je ne suis plus aussi sûr d’avoir envie de crever, du moins, pas avant d’avoir tiré cette histoire au clair. Et en plus, j’ai de la monnaie à rendre. »
1942. Pologne. Camp de Stutthof. Le chef suprême de la SS rencontre secrètement le scientifique en charge du plus important projet du 3e Reich. De nos jours.
États-Unis. Jay Novacek, jeune trader new-yorkais, dépressif et alcoolique, reçoit la visite de deux émissaires de l’armée. Son père, haut gradé de l’US Air Force, vient d’être assassiné. Aussitôt, la C.I.A. dépêche une pétillante recrue pour protéger le fils du défunt.
Au même moment, près de la base de Langley en Virginie, un agent du Mossad abat un espion à l’issue d’un interrogatoire musclé. Muni de nouvelles informations, il se rend vers son prochain objectif : un certain Jay Novacek.
Venue des heures les plus sombres de l’Histoire, une terrible machination se met en branle, menaçant l’humanité tout entière. N’est-il pas déjà trop tard pour l’arrêter ?
261 Pages
6 Octobre 2010
17€
CRITIC EDITIONS
Re: LE PROJET BLEIBERG (Tome 1) de David S. Khara
Ven 10 Juin 2011 - 20:32
Mon avis :
Ca faisait vraiment un trèèèès long moment que je voulais lire cet ouvrage. Avec tous les avis positifs que j’avais pu lire sur la blogosphère et le lien historique si cher à mon cœur avec la Seconde Guerre mondiale, comment résister ? Tout bonnement impossible, n’est-ce pas ! Et pourtant …, au début j’étais assez dubitative et ça ne sera pas un coup de cœur comme ça a pu être le cas pour d’autres lecteurs.
Cela veut-il dire que je n’ai pas aimé ? Et bien non ! Définitivement non ! C’est là un excellent thriller que nous livre David Khara. Je disais que j’ai lu les premiers chapitres en étant dubitative. En effet, au début, j’étais loin d’être convaincue. J’ai complètement adoré le premier chapitre qui se passe en 1942 dans un camp de concentration, le ton est donné. Et puis après, le début de l’intrigue a peiné à me convaincre, je n’accrochais pas. Heureusement ça a été de très courte durée, je dirais qu’il m’a fallu une petite soixantaine de page pour être vraiment plongée dans l’histoire. En revanche, après, ça n’a été que du bonheur. Le roman est divisé en quatre parties, quatre parties pour … quatre jours. Car le roman ne s’étale que sur cette très courte période de quatre jours. Le dernier jour étant particulièrement intense puisqu’il compte, à lui seul, tout le dernier tiers du livre.
Passé ces quelques données très terre-à-terre et pas forcément complètement passionnantes, chaque partie est divisé en plusieurs chapitres, normal jusque là mais le premier et le dernier chapitre de chaque partie, chaque jour nous fait revenir dans le temps. Nous nous retrouvons lors de la Seconde Guerre mondiale comme vous avez du le comprendre à la lecture de la quatrième de couverture, en plein milieux des nazis et de leurs idéaux fous. J’ai adoré ces chapitres, je les ai trouvés particulièrement bien réussis. Evidemment, l’histoire actuelle de nos protagonistes est très étroitement liée à ces mystérieux évènements passée mais, comme d’habitude, je ne vous en dirais SURTOUT pas plus ! L’intrigue est vraiment très bien menée et, si l’auteur ne cherche pas à nous bluffer en nous baladant tout au long du roman puisque des éléments de réponse sont glissés au fur et à mesure, le suspense reste très bien maintenu. J’ai vraiment trouvé le tout particulièrement intéressant tant dans l’histoire se déroulant dans le passé que celle se déroulant de nos jours, elles sont, de toute façon, intimement mêlées.
Je me suis vraiment attachée à nos trois protagonistes : Jay, Eytan et Jackie, j’ai ressenti une très grande empathie pour eux. Ce sont des personnages vraiment très humains, leur faiblesses sont claires et leurs forces admirable et j’ai trouvé que l’auteur les avait très fouillé, ils sont très développés et loin des personnages en papier. Le roman est très crédible, au niveau des personnages qui nous apparaissent comme vraiment réels mais aussi au niveau de l’intrigue. On a vraiment envie de démêler la fiction de la réalité car les frontières sont admirablement bien floutées, on pourrait très facilement croire qu’un projet aussi dément aie été mis sur pieds à cette époque, après tout, ça s’inscrit bien dans la lignée des atrocités vraiment commises.
De plus, l’auteur glisse de l’humour tout au long du roman et les personnages possèdent ce cynisme qui m’est tant cher, ça donne un vrai piquant au roman et notre intérêt n’en est que plus fort. Je n’ai pas vu de longueurs et la fin m’a vraiment plu, c’est parfaitement ce que je voulais et, à noter tout de même, j’ai relevé pas moins de trois citations dans ce livre que j’ai inscrit dans mon petit carnet. Vous avez pu voir la première hier, deux autres suivront, si elles n’arrivent pas à vous convaincre, je ne sais pas ce que je peux faire de plus. La plume de David S. Khara est vraiment très plaisante à lire, rythmée comme il faut pour un polar mais ça reste vraiment bien écrit et j’ai ressenti toutes les émotions de plein fouet. Certains passages et les personnages m’ont vraiment touché. Je suis donc ravie d’avoir pu lire ce roman, je ne sais pas si c’est le meilleur polar de l’année comme il a pu être dit mais il figure très haut dans le classement, c’est certain.
En résumé, c’est là une excellente découverte, je pense que vous pouvez le voir à mon enthousiasme. A noter qu’une suite est à paraître en octobre 2011 : Le projet Shiro où l’on devrait retrouver Eytan. Je la lirais sans aucun doute et il faut également que je lise Les vestiges de l’aube qui est dans ma LAL depuis un bout de temps.
Ca faisait vraiment un trèèèès long moment que je voulais lire cet ouvrage. Avec tous les avis positifs que j’avais pu lire sur la blogosphère et le lien historique si cher à mon cœur avec la Seconde Guerre mondiale, comment résister ? Tout bonnement impossible, n’est-ce pas ! Et pourtant …, au début j’étais assez dubitative et ça ne sera pas un coup de cœur comme ça a pu être le cas pour d’autres lecteurs.
Cela veut-il dire que je n’ai pas aimé ? Et bien non ! Définitivement non ! C’est là un excellent thriller que nous livre David Khara. Je disais que j’ai lu les premiers chapitres en étant dubitative. En effet, au début, j’étais loin d’être convaincue. J’ai complètement adoré le premier chapitre qui se passe en 1942 dans un camp de concentration, le ton est donné. Et puis après, le début de l’intrigue a peiné à me convaincre, je n’accrochais pas. Heureusement ça a été de très courte durée, je dirais qu’il m’a fallu une petite soixantaine de page pour être vraiment plongée dans l’histoire. En revanche, après, ça n’a été que du bonheur. Le roman est divisé en quatre parties, quatre parties pour … quatre jours. Car le roman ne s’étale que sur cette très courte période de quatre jours. Le dernier jour étant particulièrement intense puisqu’il compte, à lui seul, tout le dernier tiers du livre.
Passé ces quelques données très terre-à-terre et pas forcément complètement passionnantes, chaque partie est divisé en plusieurs chapitres, normal jusque là mais le premier et le dernier chapitre de chaque partie, chaque jour nous fait revenir dans le temps. Nous nous retrouvons lors de la Seconde Guerre mondiale comme vous avez du le comprendre à la lecture de la quatrième de couverture, en plein milieux des nazis et de leurs idéaux fous. J’ai adoré ces chapitres, je les ai trouvés particulièrement bien réussis. Evidemment, l’histoire actuelle de nos protagonistes est très étroitement liée à ces mystérieux évènements passée mais, comme d’habitude, je ne vous en dirais SURTOUT pas plus ! L’intrigue est vraiment très bien menée et, si l’auteur ne cherche pas à nous bluffer en nous baladant tout au long du roman puisque des éléments de réponse sont glissés au fur et à mesure, le suspense reste très bien maintenu. J’ai vraiment trouvé le tout particulièrement intéressant tant dans l’histoire se déroulant dans le passé que celle se déroulant de nos jours, elles sont, de toute façon, intimement mêlées.
Je me suis vraiment attachée à nos trois protagonistes : Jay, Eytan et Jackie, j’ai ressenti une très grande empathie pour eux. Ce sont des personnages vraiment très humains, leur faiblesses sont claires et leurs forces admirable et j’ai trouvé que l’auteur les avait très fouillé, ils sont très développés et loin des personnages en papier. Le roman est très crédible, au niveau des personnages qui nous apparaissent comme vraiment réels mais aussi au niveau de l’intrigue. On a vraiment envie de démêler la fiction de la réalité car les frontières sont admirablement bien floutées, on pourrait très facilement croire qu’un projet aussi dément aie été mis sur pieds à cette époque, après tout, ça s’inscrit bien dans la lignée des atrocités vraiment commises.
De plus, l’auteur glisse de l’humour tout au long du roman et les personnages possèdent ce cynisme qui m’est tant cher, ça donne un vrai piquant au roman et notre intérêt n’en est que plus fort. Je n’ai pas vu de longueurs et la fin m’a vraiment plu, c’est parfaitement ce que je voulais et, à noter tout de même, j’ai relevé pas moins de trois citations dans ce livre que j’ai inscrit dans mon petit carnet. Vous avez pu voir la première hier, deux autres suivront, si elles n’arrivent pas à vous convaincre, je ne sais pas ce que je peux faire de plus. La plume de David S. Khara est vraiment très plaisante à lire, rythmée comme il faut pour un polar mais ça reste vraiment bien écrit et j’ai ressenti toutes les émotions de plein fouet. Certains passages et les personnages m’ont vraiment touché. Je suis donc ravie d’avoir pu lire ce roman, je ne sais pas si c’est le meilleur polar de l’année comme il a pu être dit mais il figure très haut dans le classement, c’est certain.
En résumé, c’est là une excellente découverte, je pense que vous pouvez le voir à mon enthousiasme. A noter qu’une suite est à paraître en octobre 2011 : Le projet Shiro où l’on devrait retrouver Eytan. Je la lirais sans aucun doute et il faut également que je lise Les vestiges de l’aube qui est dans ma LAL depuis un bout de temps.
Re: LE PROJET BLEIBERG (Tome 1) de David S. Khara
Mar 28 Juin 2011 - 11:45
Le complot en lui même fait froid dans le dos cependant quand non repense à l’époque, personne ne peut vraiment dire ce qui s’est réellement passé à l’intérieur des camps et ce que les " scientifiques " ont bien pu tester comme théorie.
Peut être le saura-t-on un jour ou peut être ne vaut-il pas mieux ne pas savoir car je crois que l’on aurait plus foi en l’humain.
Un gros coup de cœur. Lisez-le vous passerez un super moment.
Oui je ne vous le cache pas j’ai adoré ce roman que j’ai dévoré. Vous allez me demander pourquoi, si je vous réponds parce que, ça vous suffit ? non ? Bon je développe.
Jay est dépressif : il est trader il est blindé de pognon mais il lui est arrivé un évènement qui l’a démoli. Jusqu’au où il découvre la vraie raison pour laquelle son père l’a abandonné avec sa mère vingt ans plus tot.
Le même jour on veut le tuer ; il est sauver par un géant qui débarque de nulle part. On lui assigne un garde du corps, une femme, ce qui n’est pas pour lui déplaire.
Chaque chapitre délivre un élément de l’énigme mais ce n’est qu’à la fin que tout est dévoilé même si on devine un peu de quoi il retourne.
Aucun temps mort n’est laissé au lecteur ; je me suis crue au cœur de l’action avec nos trois héros à chaque moment. Chacun a une personnalité forte et une bonne dose d’humour. Il faut ça quand on manque de se faire tuer à chaque coin de rue.
Peut être le saura-t-on un jour ou peut être ne vaut-il pas mieux ne pas savoir car je crois que l’on aurait plus foi en l’humain.
Un gros coup de cœur. Lisez-le vous passerez un super moment.
Oui je ne vous le cache pas j’ai adoré ce roman que j’ai dévoré. Vous allez me demander pourquoi, si je vous réponds parce que, ça vous suffit ? non ? Bon je développe.
Jay est dépressif : il est trader il est blindé de pognon mais il lui est arrivé un évènement qui l’a démoli. Jusqu’au où il découvre la vraie raison pour laquelle son père l’a abandonné avec sa mère vingt ans plus tot.
Le même jour on veut le tuer ; il est sauver par un géant qui débarque de nulle part. On lui assigne un garde du corps, une femme, ce qui n’est pas pour lui déplaire.
Chaque chapitre délivre un élément de l’énigme mais ce n’est qu’à la fin que tout est dévoilé même si on devine un peu de quoi il retourne.
Aucun temps mort n’est laissé au lecteur ; je me suis crue au cœur de l’action avec nos trois héros à chaque moment. Chacun a une personnalité forte et une bonne dose d’humour. Il faut ça quand on manque de se faire tuer à chaque coin de rue.
- InvitéInvité
Re: LE PROJET BLEIBERG (Tome 1) de David S. Khara
Jeu 8 Déc 2011 - 19:32
Mon avis :
Bonjour David,
Je me dois de te remercier très chaleureusement pour l'envoi de ton dernier roman et tu remercieras de ma part l'équipe de ton éditeur. Cette petite attention me touche parce que tu as tenu ta promesse, et il faut avouer que peu de gens tiennent leur promesse en ce bas monde. Et comme tu l'as dédicacé le jour de mon anniversaire (le 4 octobre, et oui, en octobre, pas en juillet, et non je ne m'appelle pas Tom Cruise), je considère ce paquet reçu dans ma boîte à lettres comme un cadeau. Merci...
Je t'imagine en train de lire cette chronique, rapidement, pour savoir ce que je vais pouvoir écrire sur ce roman, de murmurer "le fumier" parce que je fais durer le plaisir. L'attente est trop longue, et tu es prêt à bâcler ta lecture en sautant quelques lignes pour savoir... savoir... ah, quel magnifique mot, mais tout le monde veut savoir, et là, je ne peux m'empêcher de profiter du petit pouvoir que j'ai sur toi, actuellement, là maintenant, alors que tu commences à te tirer les cheveux. Tu es même en train de penser que sur un terrain de foot (football américain pour les lecteurs du blog, eh oui, je partage avec l'auteur une passion en plus de la littérature, celle du plus beau sport qui existe), tu me mettrais sur le cul avec la grille uniquement rien que pour te venger, je dis "même pas mal". Allez, trêve de plaisanterie, j'attaque...
Ce roman... ce roman fait partie des meilleurs thrillers que j'ai jamais lu. Au bout de même pas dix pages, j'étais pris. Il a fallu que j'aille jusqu'au bout. Tu aurais du être scénariste pour des séries (je me rappelle encore Les Vestiges et tu pourras relire la critique, j'avais eu déjà cette sensation en lisant ton premier roman), parce que tu manies le suspense avec une grande facilité, me mettant au supplice à la fin de chaque chapitre pour en "savoir" toujours un peu plus.
J'ai aimé les chapitres se déplaçant dans le temps pour nous aiguiller, nous donner des informations. Certaines révélations, non pas historiques mais bien celles qui sont propres à l'histoire du roman, m'ont laissé pantois. Mais, et oui, il faut toujours un mais... Mais, je disais donc, j'avais deviné qui était Eytan bien avant que tu ne dévoiles sa véritable origine. Et aussi, en page 207 (oui c'est très précis, mais que veux-tu, je suis taquin), la première phrase me gêne, mais à part ça, rien d'autre... si, page 261, c'est franchement prévisible à cause de la page 263.
Pour finir, je trouve que ton écriture est très fluide sans aucune lourdeur de quelque sorte, le roman se lit avec une très grande facilité. Les personnages sont attachants, ils ont des défauts et des qualités comme tout le monde, ils font et ont fait des erreurs qui les rattrapent, bref, j'aime tes personnages, ils sont vivants.
Ce roman... c'est un roman nucléaire, l'Hiroshima du genre. Il va faire des ravages.
Encore merci, et je te souhaite une très bonne continuation... Merci à Critic.
A bientôt David,
Alex S. (Skritt) Tiec
Bonjour David,
Je me dois de te remercier très chaleureusement pour l'envoi de ton dernier roman et tu remercieras de ma part l'équipe de ton éditeur. Cette petite attention me touche parce que tu as tenu ta promesse, et il faut avouer que peu de gens tiennent leur promesse en ce bas monde. Et comme tu l'as dédicacé le jour de mon anniversaire (le 4 octobre, et oui, en octobre, pas en juillet, et non je ne m'appelle pas Tom Cruise), je considère ce paquet reçu dans ma boîte à lettres comme un cadeau. Merci...
Je t'imagine en train de lire cette chronique, rapidement, pour savoir ce que je vais pouvoir écrire sur ce roman, de murmurer "le fumier" parce que je fais durer le plaisir. L'attente est trop longue, et tu es prêt à bâcler ta lecture en sautant quelques lignes pour savoir... savoir... ah, quel magnifique mot, mais tout le monde veut savoir, et là, je ne peux m'empêcher de profiter du petit pouvoir que j'ai sur toi, actuellement, là maintenant, alors que tu commences à te tirer les cheveux. Tu es même en train de penser que sur un terrain de foot (football américain pour les lecteurs du blog, eh oui, je partage avec l'auteur une passion en plus de la littérature, celle du plus beau sport qui existe), tu me mettrais sur le cul avec la grille uniquement rien que pour te venger, je dis "même pas mal". Allez, trêve de plaisanterie, j'attaque...
Ce roman... ce roman fait partie des meilleurs thrillers que j'ai jamais lu. Au bout de même pas dix pages, j'étais pris. Il a fallu que j'aille jusqu'au bout. Tu aurais du être scénariste pour des séries (je me rappelle encore Les Vestiges et tu pourras relire la critique, j'avais eu déjà cette sensation en lisant ton premier roman), parce que tu manies le suspense avec une grande facilité, me mettant au supplice à la fin de chaque chapitre pour en "savoir" toujours un peu plus.
J'ai aimé les chapitres se déplaçant dans le temps pour nous aiguiller, nous donner des informations. Certaines révélations, non pas historiques mais bien celles qui sont propres à l'histoire du roman, m'ont laissé pantois. Mais, et oui, il faut toujours un mais... Mais, je disais donc, j'avais deviné qui était Eytan bien avant que tu ne dévoiles sa véritable origine. Et aussi, en page 207 (oui c'est très précis, mais que veux-tu, je suis taquin), la première phrase me gêne, mais à part ça, rien d'autre... si, page 261, c'est franchement prévisible à cause de la page 263.
Pour finir, je trouve que ton écriture est très fluide sans aucune lourdeur de quelque sorte, le roman se lit avec une très grande facilité. Les personnages sont attachants, ils ont des défauts et des qualités comme tout le monde, ils font et ont fait des erreurs qui les rattrapent, bref, j'aime tes personnages, ils sont vivants.
Ce roman... c'est un roman nucléaire, l'Hiroshima du genre. Il va faire des ravages.
Encore merci, et je te souhaite une très bonne continuation... Merci à Critic.
A bientôt David,
Alex S. (Skritt) Tiec
Re: LE PROJET BLEIBERG (Tome 1) de David S. Khara
Jeu 22 Mar 2012 - 13:08
Mon avis : Première découverte avec cet auteur que je ne connaissais pas du tout et c'est à travers son livre "Le projet Bleiberg" que j'ai décidé de commencer. J'ai passé un bon moment de lecture avec ce thriller somme toute assez classique et qui se lit rapidement. Même si ce livre ne révolutionnera pas le monde du thriller, j'ai très envie de lire "Le projet Shiro".
Un récit qui prend racine dans le passé, nous naviguons entre deux périodes, celle des expériences nazies sur les enfants pendant la seconde guerre mondiale et de nos jours aux Etats-Unis à New York.
Jay Novacek est un jeune homme fragile avec une mère malade et un père qui l'a abandonné. Trader à New-York, il sombre dans la dépression et l'alcool le jour où il écrase une petite fille dans une poussette .
A la mort de son père, sa mère lui remet une mystérieuse boite avec le code d'un coffre en Suisse et un clé. Il apprend en même temps qu'il ne les a pas abandonnés volontairement mais pour les protéger d'un grand danger.
Dans les heures qui suivent ces révélations, Il se retrouve lui même traqué.
Des personnages sympathiques, Jay d'un premier abord est antipathique et inbuvable mais au fur et à mesure du livre on comprend que c'est un être écorché mais doublé d'une vive intelligence. Mention spéciale pour Ethan "Le géant vert" je l'ai tout de suite imaginé façon publicité pour le maïs.
Un thriller rapide et efficace avec des dialogues, du rythme, les pages se tournent toutes seules. Malgré une fin un peu téléphonée et sans aucune surprise pour moi, j'ai quand même passé un bon moment de lecture.
Un récit qui prend racine dans le passé, nous naviguons entre deux périodes, celle des expériences nazies sur les enfants pendant la seconde guerre mondiale et de nos jours aux Etats-Unis à New York.
Jay Novacek est un jeune homme fragile avec une mère malade et un père qui l'a abandonné. Trader à New-York, il sombre dans la dépression et l'alcool le jour où il écrase une petite fille dans une poussette .
A la mort de son père, sa mère lui remet une mystérieuse boite avec le code d'un coffre en Suisse et un clé. Il apprend en même temps qu'il ne les a pas abandonnés volontairement mais pour les protéger d'un grand danger.
Dans les heures qui suivent ces révélations, Il se retrouve lui même traqué.
Des personnages sympathiques, Jay d'un premier abord est antipathique et inbuvable mais au fur et à mesure du livre on comprend que c'est un être écorché mais doublé d'une vive intelligence. Mention spéciale pour Ethan "Le géant vert" je l'ai tout de suite imaginé façon publicité pour le maïs.
Un thriller rapide et efficace avec des dialogues, du rythme, les pages se tournent toutes seules. Malgré une fin un peu téléphonée et sans aucune surprise pour moi, j'ai quand même passé un bon moment de lecture.
Re: LE PROJET BLEIBERG (Tome 1) de David S. Khara
Jeu 22 Mar 2012 - 14:17
Je lis en ce moment le Projet Shiro.
Re: LE PROJET BLEIBERG (Tome 1) de David S. Khara
Jeu 22 Mar 2012 - 15:55
taylor a écrit:Je lis en ce moment le Projet Shiro.
Je crois qu'on y retrouve Ethan un prochain achat sans doute !
Re: LE PROJET BLEIBERG (Tome 1) de David S. Khara
Jeu 22 Mar 2012 - 15:59
Effectivement Ethan est bien là
- YunaliPlume de cashmere
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Messages : 1597
Date d'inscription : 03/07/2012
Re: LE PROJET BLEIBERG (Tome 1) de David S. Khara
Dim 6 Jan 2013 - 15:27
Mon avis:
Le projet Bleiberg nous entraîne dans l’Histoire, et plus précisément au temps de la Seconde Guerre Mondiale, où les Nazis (entre autres choses…) menaient des expériences scientifiques, certaines sur les êtres humains.
Si l’action du livre se passe de nos jours, les nombreux flashbacks historiques parsemés au fil des chapitres nous permettent d’en savoir plus sur les implications actuelles de ces expériences passées.
Les personnages principaux sont un groupe hétéroclite composé de :
- Jeremy Corbin (qui préfère prendre le nom de sa mère Novacek), un trader qui a gagné des millions mais qui suite à un accident de la route est plutôt dépressif, et se réfugie dans les cigarettes et l’alcool ;
- Eytan Morg, mystérieux agent secret du Mossad aux méthodes musclées et qui semble n’avoir peur de rien ;
- Jacqueline dite Jacky, agent de la CIA chargée de surveiller et protéger Jay.
Les personnages se dévoilent petit à petit, les secrets qui entourent la famille de Jay et ceux d’Eytan apparaissent au fil des pages.
Tout cela étant bien entendu lié au fameux « projet Bleiberg », dont on n’aura vraiment que les tenants et aboutissants à la fin.
Mené tambour battant, ce thriller est vraiment palpitant, et comme l’action se déroule sur seulement quatre jours, cela laisse peu de place aux moments de répit.
D’une écriture fluide, avec une bonne dose d’humour (ce qui change de pas mal d’autres thrillers), ce livre se lit vraiment facilement et ferait aussi une bonne adaptation en film, tellement on imagine bien tout ce que l’auteur nous décrit.
J’ai beaucoup apprécié les passages du point de vue intérieur de Jay ! Je languissait vraiment de retrouver ses petites réflexions et son humour parfois douteux.
Ce n’est peut-être pas un livre sur un thème très innovant, mais il a le mérite de nous faire nous interroger un peu sur une période trouble de l’Histoire (bon juste un peu car ce n’est vraiment pas un livre historique), tout en nous faisant passer un bon moment de détente.
J’ai commencé la suite sans attendre, Le projet Shiro.
Ma note: 4.5 /5
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