LE TEMPS DES FEMMES (Tome 1) LE SALON D'EMILIE de Emmanuelle de Boysson
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LE TEMPS DES FEMMES (Tome 1) LE SALON D'EMILIE de Emmanuelle de Boysson
Jeu 12 Juil 2012 - 14:58
Résumé
1643, A la mort de son père, la jeune Emilie Le Guilvinec quitte sa Bretagne natale pour devenir préceptrice dans le Marais, à Paris, chez la comtesse Arsinoé
de La Tour.
Sa culture, son esprit et sa fraîcheur lui ouvrent la porte des salons littéraires. Emilie rencontre les fameuses précieuses qui se piquent de lettres et d'érudition. L'ambitieuse suscite vite des jalousies. Dans les tourments du royaume déchiré par la Fronde qui traumatise Louis XIV enfant, l'attachante Bretonne se débat au coeur des jeux de pouvoir et confie à son journal ses troubles, ses rêves, ses passions aussi. Saura-t-elle se jouer de l'arrogance et des volte-face de cette noblesse dont elle ne partage pas le sang ? Maintiendra-t-elle son rang au milieu de ces brillantes amazones qui excellent dans l'art de la conversation et de la raillerie ? Pourra-t-elle aimer l'homme qu'elle a choisi plutôt que celui qu'on lui impose ? Son ascension la conduira-t-elle à sa perte ? Plongée dans l'univers des salons, ce roman palpitant est aussi une grande histoire d'amour nourrie de rebondissements et d'intrigues.
Date de parution : 06/04/11
Editeur : Flammarion
Présentation : Broché
Nb. de pages : 367 pages
Editeur : Flammarion
Présentation : Broché
Nb. de pages : 367 pages
Re: LE TEMPS DES FEMMES (Tome 1) LE SALON D'EMILIE de Emmanuelle de Boysson
Jeu 12 Juil 2012 - 15:13
On découvre une jeune fille de condition très modeste mais lettrée grâce à son père qui possède une immense bibliothèque et un gout incommensurable pour la culture.
Son décès oblige Emilie à quitter sa Bretagne natale pour rentrer au service d’une Dame de Paris. Elle va y découvrir le monde des salons où elle va pouvoir « briller » mais ce n’est pas au gout de tout le monde. Elle est jolie, intelligente mais elle risque de faire de l’ombre à toutes ces précieuses qui se targuent d’être fort érudites.
Elle va épouser un vieux comte qui, certes, va la mette à l’abri du besoin, mais ce mariage la met également à l’abri de toute émancipation. Elle se doit d’être une dame comme il faut et rester à sa place. Elle va donc pouvoir donner elle aussi salon mais elle est loin d’imaginer le revers de la médaille.
Emmanuelle de Boysson nous raconte donc une petite histoire dans la Grande Histoire. Elle place ainsi son récit au cœur de la Fronde et en pleine Régence car Louis XIV n’a pas encore l’âge de régner et les intrigues entre la Reine Anne d’Autriche et Mazarin vont bon train.
Chacun essaie de placer ses billes et de se faire bien voir de la Cour avec plus ou moins de succès.
Emilie est attachante, vive d’esprit et j’ai suivi avec beaucoup d’intérêts ses aventures palpitantes. En revanche, la multitude de personnages féminins peuplant les salons m’a quelque peu perturbée. A maintes reprises, il a fallu que je retourne en arrière pour bien lire les noms et éviter de m’emmêler les crayons.
Un premier tome réussi pour l’auteur qui donne grandement envie de se jeter sur le tome 2.
Re: LE TEMPS DES FEMMES (Tome 1) LE SALON D'EMILIE de Emmanuelle de Boysson
Jeu 12 Juil 2012 - 16:39
Je le note!
Re: LE TEMPS DES FEMMES (Tome 1) LE SALON D'EMILIE de Emmanuelle de Boysson
Ven 13 Juil 2012 - 13:59
Je déplace en Rom. historiques
Re: LE TEMPS DES FEMMES (Tome 1) LE SALON D'EMILIE de Emmanuelle de Boysson
Ven 13 Juil 2012 - 14:08
Merci Karine
Re: LE TEMPS DES FEMMES (Tome 1) LE SALON D'EMILIE de Emmanuelle de Boysson
Lun 24 Sep 2012 - 9:46
Sortie en version poche :
J'ai Lu
406 pages
11/07/2012
7.60€
406 pages
11/07/2012
7.60€
Re: LE TEMPS DES FEMMES (Tome 1) LE SALON D'EMILIE de Emmanuelle de Boysson
Dim 21 Oct 2012 - 19:33
Mon avis: Emilie Le Guilvinec a dix-sept ans et vit dans l’insouciance de sa Bretagne natale. De temps en temps, elle rêve sur l’élégance et la distinction des femmes de la ville qu’elle voit passer, elle qui aime tant la lecture et les beaux livres transmis par son père. Mais lorsque ce dernier meurt, la situation familiale devient bien compliquée. Emilie est alors envoyée à Paris chez une ancienne connaissance de son père, la comtesse Arsinoé de La Tour, pour devenir préceptrice de ses enfants. Emilie peut alors mettre à profit sa connaissance des lettres tout en approchant d’un peu plus près ces précieuses, ces femmes érudites qui s’occupent de conversation, du bel esprit, des bonnes manières et de la beauté de la langue. Remarquant ses qualités, Arsinoé la sollicite de plus en plus pour ces salons, jeux d’esprits et autres discussions mondaines. Emilie peine pourtant à y trouver sa place, d’autant plus qu’ à Paris, la situation n’est pas toute rose pour les nobles et les intellectuels: le roi Louis XIII est mort, et la Fronde déchire la capitale. Il convient donc d’être prudent quand on ouvre la bouche ou qu’on dégaine la plume.
J’attendais beaucoup de ce roman à la couverture élégante et au synopsis prometteur. Au final, c’est une belle déception. Certes, l’histoire d’Emilie est pleine de rebondissements, depuis son introduction dans les salons parisiens jusqu’à son amour passionnel avec son amant de poète, en passant par son mariage arrangé avec un vieux magistrat qui lui permet d’ouvrir son propre salon (celui du titre, qui ne dure qu’à peu près un quart du roman). La question des luttes sociales sur fond d’affirmation de la plus solide monarchie de France est tout à fait intéressante et met en lumière un moment-clé de l'émancipation féminine. Emilie est une jeune femme courageuse contre qui sa condition féminine et provinciale s'acharnent. Partie de rien, elle rêve de tout: amour, poésie, reconnaissance littéraire, elle en vient même à s'engager en politique mais plus dure sera la chute...
Néanmoins, j’ai trouvé trop de défauts à ce roman, à commencer par toutes les promesses qu’il ne tient pas, à savoir d’être un roman sur les précieuses, ces femmes lettrées et pleine d’esprit. Car à aucun moment du livre, elles ne font étalage de cet esprit, de cette belle langue, de cette culture. Elles passent surtout leur temps à se lancer des piques. On parle de leurs jeux intellectuels sans jamais savoir en quoi ils consistent, un seul de leurs textes nous est vraiment retranscrit. Leurs bons mots ou même leurs lectures sont soigneusement passés sous silence. A peine passe-t-on une demi-page à montrer qu’elles tentent de rendre la langue française plus belle et plus simple avec quelques mineurs exemples qui nous laissent très vite sur notre faim. Et même lorsqu'Emilie décide d'écrire son propre roman, le lecteur n'en a pas un mot. Le portrait des précieuses est bâclé. Tout comme la construction du roman d’ailleurs: certes, l’auteure semble être particulièrement érudite sur le sujet, comme elle ne manque pas de le rappeler en signalant par des notes de bas de pages les points historiques authentiques de son roman ainsi que leur source. Cela me semble lourd et maladroit: les sources sont tout sauf parlantes pour moi, elles donnent juste l’impression d’un cours d’histoire déguisé en roman. Un roman, même historique, est une fiction avec toute sa légitimité et n’a pas à se justifier en permanence, une bonne bibliographie à la fin du livre aurait largement suffi. De même, on retrouve volontiers des personnages réels, tels Voiture ou La Rochefoucauld, mais ils sont trop souvent traités comme des citations et non comme des personnages de roman. Ainsi on trouve même un “[…]” au milieu d’une lettre de Voiture (avec sa note de bas de page qui certifie l’authenticité bien sûr). Bref, on ne fait que parler superficiellement de la Fronde (par les récits des personnages et non parce qu'on y est plongé) et des précieuses sans les mettre en scène, sans rien en faire de vraiment dramatique ou romanesque. Le langage lui-même est inégal, de sorte que si des efforts sont faits pour utiliser un langage classique, une seule des précieuses s’exprime vraiment comme telle et on retrouve beaucoup de formules contemporaines, sans parler d’une narration au présent bien étonnante quand on considère que le passé simple est le symbole du récit d’époque. De quoi abaisser le niveau alors que les personnages proclament qu'il faut le remonter.
Heureusement, j’ai fini par me prendre au jeu, intriguée que j’étais par le destin d’Emilie, désireuse de savoir si elle rencontrerait quelqu’un qui lui ferait oublier sa condition modeste et son vieux mari, mais sans franchement m’attacher aux personnages ni à une intrigue la plupart du temps survolée et sous-exploitée. On n’ira au bout ni du secret de famille d’Emilie, ni de son aventure amoureuse, ni de son salon qui n’existe que brièvement. Quel dommage… Curieusement, j'ai été plus sensible au personnage de George de la Motte, son mari, décrit comme un vieil homme sans coeur, mais qui a depuis longtemps passé l'âge des badinages amoureux, qui cède à tous ses caprices, qui ferme les yeux sur sa liaison tant qu'elle ne déshonore pas son nom et qui va au bout de ses idées politique. Une complexité toute à son honneur.
Un potentiel énorme mais un traitement et un style qui ne m’ont pas du tout conquise. Je remercie néanmoins Karine ainsi que les éditions J'ai Lu pour ce partenariat.
Ma note : 2,5 / 5
Désolée, je m'attendais vraiment à mieux. Mais j'ai essayé de faire une critique précise de sorte que ce qui m'a déplu pourra peut-être plaire à d'autres...
Re: LE TEMPS DES FEMMES (Tome 1) LE SALON D'EMILIE de Emmanuelle de Boysson
Lun 22 Oct 2012 - 22:23
Mon avis :Au bord de l'enfance, à peine jeune femme, Emilie Le Guilvinec est une douce rêveuse. Son père, Paul, est tavernier à Locronan et également marchand de vins à Paris. Amoureux des belles lettres, il dépense ses économies dans de beaux ouvrages, caresse du regard sa bibliothèque grandissante et transmet naturellement cet amour de la littérature et de la langue française à sa fille. Aimant et protecteur, il impose constamment sa volonté à sa femme qui souhaiterait marier sa fille ou lui trouver une place de servante. Paul, oublieux de leur condition et du peu de fortune qu'ils possèdent, désire mieux pour sa fille : père imprudent, il aime lui narrer la cour, les duchesses et marquises, les salons littéraires et poétiques aux belles femmes fortunées, parfumées, lettrées. Emilie grandit dans ce rêve de richesse, dans cette illusion de liberté intellectuelle : se dessine dès lors les défauts de cette jeune fille, que les ambitions rendent prétentieuse.
Tristement, Paul décède. Emilie n'a pas le temps de se laisser aller au chagrin : sa mère décide de vendre l'auberge aux revenus trop maigres et impose à sa fille une place de gouvernante dans une famille fortunée, à Paris. C'est le départ vers une nouvelle vie, sa chance de réussir grâce à son intellect. Assidue, elle s'investit dans l'éducation des deux enfants qui lui sont confiés par la comtesse de La Tour et acquiert progressivement leur confiance, presque leur respect. Elle peine à trouver sa place, mais se montre téméraire et doucement, se fait accepter. La comtesse Arsinoé de La Tour remarque son intérêt pour les livres, sa curiosité intellectuelle et lui demande de rédiger un petit billet. Charmée par la plume d'Emilie, Arsinoé souhaite s'octroyer les talents de la jeune fille : elle lui propose alors de l'accompagner chez ses amies les Précieuses. Heureuse de cette confiance inespérée, Emilie accepte et apprend à rester en retrait d'Arsinoé, toujours prête à dissimuler dans l'éventail de celle-ci une habile joute verbale.
Cependant, en exploitant ainsi Emilie, Arsinoé flatte inconsciemment l'égo de cette dernière, qui a toujours rêvé de côtoyer ces femmes cultivées et intéressées par les arts. Emilie n'osait rêver approcher un jour de ces salons littéraires : la voici à présent qui souhaite plus, toujours plus. Emilie souhaite se distinguer, se faire remarquer. Elle aimerait dépasser sa condition, devenir une Précieuse.
Grâce à l'amitié que lui porte Arsinoé, Emilie épouse un magistrat âgé, fortuné et peu exigeant. Tout juste mariée, Emilie de La Motte décide de changer l'apparence de sa nouvelle demeure et d'effacer les souvenirs de feu Madame de La Motte, qu'importe les désirs de son époux qu'elle ne prend pas la peine de consulter. Elle dépense en meubles, en robes, en chapeaux et souliers, en parfums, poudres et onguents, en livres et mouchoirs délicats. Ingrate envers son vieux mari qui ne lui refuse rien, Emilie cultive ses défauts : orgueilleuse et ambitieuse, elle devient arrogante.
Le roman se prolonge sur une dizaine d'années et explore les troubles qui éclatèrent en France entre 1648 et 1653, pendant la régence d'Anne d'Autriche et sous le ministère du cardinal Mazarin. Assurément, l'auteur Emmanuelle de Boysson possède de solides connaissances en Histoire : le roman est très riche en détails, explications et s'appuie sur de nombreuses références. Hélas, je crains que ces multiples citations ne subliment pas la romance ! Quel ennui ! Je ne reproche pas à l'auteur le contenu de son ouvrage, qui a beaucoup à offrir, mais plutôt ses choix narratifs : j'aurais souhaité que l'Histoire soit imbriquée dans l'histoire d'Emilie.
Il est vrai que les deux se rejoignent, puisque Emilie est contemporaine de ces batailles, complots et autres machinations, cependant elle n'y participe guère, ne se préoccupant que de sa renommée et de ses relations amoureuses ! Ce sont les amies de ses quelques relations qui relatent les faits entre elles, alors qu'Emilie, curieuse et soucieuse de s'intégrer au petit groupe, laisse traîner son oreille et écoute les conversations, ce qui permet au lecteur de suivre - de loin ! - les évènements. Son mari, passionné et acteur des évènements politiques, est également un habile moyen de fournir au lecteur quelques explications supplémentaires. Tant de narration et si peu d'action concrète ! Le lecteur ne vit pas, ne ressent pas les évènements politiques et historiques : il n'en est même pas le spectateur direct. De nombreux personnages historiques sont évoqués : Anne d'Autriche, Mazarin, Louis XIV, Condé, Conti, Gondi, Longueville, etc. mais ces derniers demeurent des citations, seuls Beaufort et la Grande Mademoiselle deviennent des personnages ! Le roman n'est donc pas vivant et m'a fortement déçue car je ne souhaitais pas recevoir un cours d'Histoire, mais plutôt vivre celle-ci.
Par ailleurs, la quatrième de couverture n'évoque que brièvement les évènements politiques et laisse penser que les Précieuses et leurs salons littéraires sont au coeur de ce roman. Or, si quelques passages évoquent leurs joutes verbales, leur intérêt pour la poésie et la littérature, leurs efforts pour renouveler régulièrement les jeux intellectuels, point de description de ces derniers. Seuls deux billets rédigés par Emilie pour la comtesse viennent illustrer ces jeux d'esprit, mais laissent le lecteur sur sa faim. J'espérais pénétrer ces salons littéraires, percer leurs plaisirs intellectuels, admirer peut-être l'art de la répartie de ces dames. J'aurais souhaité découvrir la littérature française du point de vue de ces femmes lettrées et savantes. Hélas, aussi riche que soit ce roman, il n'explore pas les multiples facettes de ces femmes d'un autre siècle. Emmanuelle de Boysson s'est concentrée sur la politique et mêle ces femmes aux intrigues et aux complots, les conversations sont tournées vers l'Histoire - et lorsqu'enfin on change de sujet, ce n'est que médisance. Le lecteur se doute que ces cercles de femmes étaient propices aux commérages et aux trahisons : était-ce nécessaire de les mettre autant en exergue? Ce roman m'a fatiguée et lassée : j'imaginais les voix perçantes et haut-perchées de ces dames, ce bourdonnement constant dans leurs petites chambres confinées, et toujours ces indiscrétions, ces cancans de femmes.
Où est donc passée la préciosité? Ce raffinement dans la manière d'être, cette complexité dans l'analyse des sentiments, ces jeux d'écriture et autres divertissements représentatifs d'un phénomène sociolittéraire du XVIIème siècle français sont pratiquement inexistants dans ce roman.
Enfin, quelques mots sur l'histoire d'Emilie : une vie romanesque, beaucoup de rebondissements, je pense que la trame de fond était prometteuse. Malheureusement, cette histoire m'a déçue : outre les problèmes que j'évoque ci-dessus, le caractère d'Emilie est insupportable. Je n'arrive pas à comprendre précisément quel ingrédient manque à cette histoire : Emilie n'a déclenché chez moi aucune émotion ou empathie. Elle m'a agacée. Très portée sur sa personne, souhaitant toujours se mettre en avant, faire apprécier des qualités qu'elle ne possède pas, je la juge vaniteuse et égoïste. Un trait de caractère qui s'accentue au fil des pages, et que rien ne vient ébranler. Peut-être un brin de douceur, un rien de bonté ou de tendresse m'aurait rendu ce personnage plus agréable ?
Malgré cette déception, je remercie les éditions J'ai Lu ainsi que Karine, du Club de Lecture, pour cette découverte qui m'a replongée dans l'Histoire de France ! Une fiévreuse envie de retourner auprès d'Alexandre Dumas, dont je savoure toujours les oeuvres !
Ma note :2/5
Re: LE TEMPS DES FEMMES (Tome 1) LE SALON D'EMILIE de Emmanuelle de Boysson
Mar 23 Oct 2012 - 14:33
Merci pour vos avis les filles
Re: LE TEMPS DES FEMMES (Tome 1) LE SALON D'EMILIE de Emmanuelle de Boysson
Mar 23 Oct 2012 - 15:58
Jennifer, je suis agréablement surprise de voir que nos avis se rejoignent sur de nombreux points! J'avais lu des critiques excellentes et je commençais à me demander si je n'étais pas passée à côté de quelque chose, mais je vois que tu lui as trouvé les mêmes manques que moi.
Re: LE TEMPS DES FEMMES (Tome 1) LE SALON D'EMILIE de Emmanuelle de Boysson
Mar 23 Oct 2012 - 17:20
Oui, j'ai moi aussi lu quelques chroniques tout à fait positives de ce roman... Je crois que nos attentes étaient très différentes des autres lectrices !
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