AU COMMENCEMENT IL Y AVAIT BOB - DIEU A MAL AU CRÂNE de Meg Rosoff
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titisse
Karine
Mathilde
7 participants
AU COMMENCEMENT IL Y AVAIT BOB, DIEU A MAL AU CRÂNE de Meg Rosoff
AU COMMENCEMENT IL Y AVAIT BOB - DIEU A MAL AU CRÂNE de Meg Rosoff
Dim 11 Mar 2012 - 21:17
Résumé
Et si Dieu n’était pas ce vieux sage barbu que tout le monde imagine ? Comment réagiriez-vous si vous découvriez que votre destin est entre les mains d’un adolescent prénommé Bob, aux mœurs légères, égocentrique et à qui le sort du monde importe peu ? La mère de Bob a gagné la Terre lors d’une partie de poker réunissant plusieurs dieux, mais ne voulant pas s’en occuper, elle l’a confiée à son fils qui créé le monde en à peine six jours par manque de motivation. Et puis il rencontre Lucy, une humaine, dont il tombe follement amoureux. Et quand l’amour vient frapper à la porte de Bob, on peut être sûr que les catastrophes sur terre vont s’enchaîner…
Éditions Hachette
Collection Blackmoon
Sorti le 02/05/2012
??? pages
14,79€
Collection Blackmoon
Sorti le 02/05/2012
??? pages
14,79€
Re: AU COMMENCEMENT IL Y AVAIT BOB - DIEU A MAL AU CRÂNE de Meg Rosoff
Dim 11 Mar 2012 - 21:18
Le résumé me donne envie
L'histoire a l'air de changer un peu de d'habitude ^^
L'histoire a l'air de changer un peu de d'habitude ^^
Re: AU COMMENCEMENT IL Y AVAIT BOB - DIEU A MAL AU CRÂNE de Meg Rosoff
Lun 12 Mar 2012 - 9:54
Oui Black Moon se "diversifie"
Re: AU COMMENCEMENT IL Y AVAIT BOB - DIEU A MAL AU CRÂNE de Meg Rosoff
Sam 5 Mai 2012 - 0:11
Ça me fait bizarre car Bob est un adolescent dans ce livre et c'est le surnom de mon père qui va avoir 57 ans
- it's mePlume de laine
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Date d'inscription : 23/03/2012
Emploi/Loisirs : lire, jouer tennis, nager,...
Re: AU COMMENCEMENT IL Y AVAIT BOB - DIEU A MAL AU CRÂNE de Meg Rosoff
Mer 23 Mai 2012 - 16:02
Il me donne également envie car il change de d'habitude. Pas de vampire chez black moon, ça faisait longtemps! ;p
En plus l'histoire à l'air original!
Si jamais il y en a que ça intéresse, il y le début de l'histoire sur lecture academy!
En plus l'histoire à l'air original!
Si jamais il y en a que ça intéresse, il y le début de l'histoire sur lecture academy!
- InvitéInvité
Re: AU COMMENCEMENT IL Y AVAIT BOB - DIEU A MAL AU CRÂNE de Meg Rosoff
Mer 30 Mai 2012 - 23:41
J’ai découvert ce titre je dois avouer que le résumé m’a autant intrigué qu’amusé. Quand l’opportunité de le lire s’est présentée, j’ai sauté sur l’occasion. Et c'est donc sur le ton de la rigolade que j’ai pris ce titre. Je ne sais d’ailleurs pas trop s’il y avait une autre façon de le lire car c’est franchement du grand n’importe quoi.
L’histoire est très simpliste : Bob tombe sous le charme de Lucy (une humaine) qu’il tente de séduire. Naît bien vite une relation vouée à l’échec, d’une part à cause de la « profession » de Bob (c’est Dieu quand même, et en plus il est immortel !) et surtout à cause de sa personnalité. L’histoire d’amour est la trame du roman, à laquelle viennent se greffer de nombreux détails assez pertinents (Dieu, des catastrophes climatiques…). Mais même avec ces éléments, qui auraient pu donner une histoire captivante et originale, je l’ai malheureusement trouvé au final sans aucun intérêt. Y avait un message que je n’ai pas saisi ?
Le personnage central est donc Bob. C’est la caricature même de l’ado, poussé par ses besoins primaires : peu d’hygiène, beaucoup de bouffe, de sexe et de grasses mat’ ! Le problème c’est que Bob est Dieu…je vous laisse imaginer la catastrophe. Dieu créa la terre (on se demande encore comment vu les limites de sa réflexion) et délaisse aujourd’hui totalement son travail, trop occupé à suivre ses pulsions sexuelles. Heureusement, il est assisté par Mister B, secrétaire particulier dévoué, dont la conscience professionnelle est à l’inverse de celle de son patron. C’était le seul postulant suffisamment qualifié au poste de créateur de la Terre mais son âge avancé ne lui a pas permis d’être retenu. Le poste a donc été mis en jeu lors d’une partie de Poker galactique et gagné par Mona, mère alcoolique de Bob, qui a préféré refiler le cadeau à son fils.
Autre point essentiel à l’intrigue : le climat. En effet, les conditions climatiques sur terre sont liées aux humeurs, plus que changeantes, de Bob. Sa rencontre avec Lucy entraine un déploiement d’arc-en-ciel, ses envies sexuelles entrainent une « météo sexuelle- une météo excitée, déréglée, en chaleur. » (page 111) et c’est la grêle, le déluge, la canicule qui ravagent la planète…Bref, une multitude de dégâts météorologiques qu’amène son emballement émotionnel.
L’écriture de Meg Rosoff n’est pas désagréable, à la fois simple et accessible tout en étant parfois ponctuée d’un vocabulaire plus recherché et travaillé et d’expressions totalement loufoques (« les citrons qui l’amenèrent à pincer la bouche comme un anus de canard » page 36). Je l’ai lu d’un œil amusé mais mon amusement s’est vite essoufflé. L’intrigue qui ne possède aucun suspens, m’a lassée et c’est sans grand plaisir que je l’ai terminée. Je n’ai en plus accroché avec aucun des personnages. Bob est orgueilleux, son ego est surdimensionné, il est lourd, de mauvaise foi…quant à Lucy, je l’ai trouvé vraiment fade. Mister B est un des seuls, avec Estelle (la fille d’un autre Dieu, joueur de poker), a relevé le niveau d’intérêt. Il est conscient de l’ampleur des dégâts, travailleur, plus humain mais ça n’a pas suffi.
Un autre détail m’a aussi gêné : la conjugaison. Le texte est d’abord écrit au présent et sans aucune explication logique, on passe à un récit au passé, pour ensuite revenir à l’utilisation du présent. Je n’ai pas compris s’il s’agissait d’un effet ou d’une erreur...
Conclusion : je n’ai pas vraiment accroché mais ça n’a pas été pour autant une lecture difficile. Au commencement il y avait Bob est (encore) un texte vite lu et vite oublié.
L’histoire est très simpliste : Bob tombe sous le charme de Lucy (une humaine) qu’il tente de séduire. Naît bien vite une relation vouée à l’échec, d’une part à cause de la « profession » de Bob (c’est Dieu quand même, et en plus il est immortel !) et surtout à cause de sa personnalité. L’histoire d’amour est la trame du roman, à laquelle viennent se greffer de nombreux détails assez pertinents (Dieu, des catastrophes climatiques…). Mais même avec ces éléments, qui auraient pu donner une histoire captivante et originale, je l’ai malheureusement trouvé au final sans aucun intérêt. Y avait un message que je n’ai pas saisi ?
Le personnage central est donc Bob. C’est la caricature même de l’ado, poussé par ses besoins primaires : peu d’hygiène, beaucoup de bouffe, de sexe et de grasses mat’ ! Le problème c’est que Bob est Dieu…je vous laisse imaginer la catastrophe. Dieu créa la terre (on se demande encore comment vu les limites de sa réflexion) et délaisse aujourd’hui totalement son travail, trop occupé à suivre ses pulsions sexuelles. Heureusement, il est assisté par Mister B, secrétaire particulier dévoué, dont la conscience professionnelle est à l’inverse de celle de son patron. C’était le seul postulant suffisamment qualifié au poste de créateur de la Terre mais son âge avancé ne lui a pas permis d’être retenu. Le poste a donc été mis en jeu lors d’une partie de Poker galactique et gagné par Mona, mère alcoolique de Bob, qui a préféré refiler le cadeau à son fils.
Autre point essentiel à l’intrigue : le climat. En effet, les conditions climatiques sur terre sont liées aux humeurs, plus que changeantes, de Bob. Sa rencontre avec Lucy entraine un déploiement d’arc-en-ciel, ses envies sexuelles entrainent une « météo sexuelle- une météo excitée, déréglée, en chaleur. » (page 111) et c’est la grêle, le déluge, la canicule qui ravagent la planète…Bref, une multitude de dégâts météorologiques qu’amène son emballement émotionnel.
L’écriture de Meg Rosoff n’est pas désagréable, à la fois simple et accessible tout en étant parfois ponctuée d’un vocabulaire plus recherché et travaillé et d’expressions totalement loufoques (« les citrons qui l’amenèrent à pincer la bouche comme un anus de canard » page 36). Je l’ai lu d’un œil amusé mais mon amusement s’est vite essoufflé. L’intrigue qui ne possède aucun suspens, m’a lassée et c’est sans grand plaisir que je l’ai terminée. Je n’ai en plus accroché avec aucun des personnages. Bob est orgueilleux, son ego est surdimensionné, il est lourd, de mauvaise foi…quant à Lucy, je l’ai trouvé vraiment fade. Mister B est un des seuls, avec Estelle (la fille d’un autre Dieu, joueur de poker), a relevé le niveau d’intérêt. Il est conscient de l’ampleur des dégâts, travailleur, plus humain mais ça n’a pas suffi.
Un autre détail m’a aussi gêné : la conjugaison. Le texte est d’abord écrit au présent et sans aucune explication logique, on passe à un récit au passé, pour ensuite revenir à l’utilisation du présent. Je n’ai pas compris s’il s’agissait d’un effet ou d’une erreur...
Conclusion : je n’ai pas vraiment accroché mais ça n’a pas été pour autant une lecture difficile. Au commencement il y avait Bob est (encore) un texte vite lu et vite oublié.
- InvitéInvité
Re: AU COMMENCEMENT IL Y AVAIT BOB - DIEU A MAL AU CRÂNE de Meg Rosoff
Mer 30 Mai 2012 - 23:45
désolée, mon billet doit sans doute décevoir vos attentes quant à ce titre...
Re: AU COMMENCEMENT IL Y AVAIT BOB - DIEU A MAL AU CRÂNE de Meg Rosoff
Mar 24 Juil 2012 - 10:05
Le synopsis était très prometteur, avec une approche intéressante de Dieu. Je pensais bien rigoler ou au moins passer un bon moment. Malheureusement, je n'ai pas du tout accroché avec ce roman.
L'intrigue ne m'a pas passionnée outre mesure. Bob est amoureux de Lucy, et il veut tout faire pour être avec elle (ou plutôt la mettre dans son lit). A côté de cela, il enchaîne les catastrophes et les mauvais choix pour la planète.
Bob est un personnage absolument détestable qui semble réunir à lui seul tous les défauts. Il a un égo surdimensionné, alors qu'il est bon à rien (et mauvais en tout ^^). Pour couronner le tout, il est clairement obsédé. Il m'a été impossible d'avoir un quelconque attachement pour lui. Bob est une catastrophe à lui tout seul.
Les autres personnages ne rattrapent malheureusement pas la situation. Mona, la mère de Bob est une écervelée poivrote sans grand intérêt. Mister B, le "second" de Bob, aurait pu être un personnage très intéressant mais ses interventions sont souvent dépourvues d'intérêt.
L'écriture de Meg Rosoff est assez simple, sans grande distinction. L'avantage du livre est donc qu'il se lit assez vite. L'humour n'a pas marché sur moi, et l'auteure tombe facilement dans la vulgarité gratuite. Certains passages m'ont un peu choquée, je ne m'attendais pas à voir de telles expressions dans un livre jeunesse. Comme "Le peine à jouir aux couilles desséchées" (p.205) ou quand elle parle de Dieu qui "se branle" (p.34). A côté de cela, l'auteure utilise des mots un peu plus classe comme "in petto" (= intérieurement) ou "longanimité" (=clémence, mansuétude). Niveau style, ce n'est pas cohérent et cela fait bizarre.
En somme, je pense qu'avec un tel livre il n'y a pas de demi-mesure : soit on accroche, soit on n'aime pas. Malheureusement, je fais partie de la seconde catégorie. C'est dommage car l'idée de départ était vraiment très bonne.
Re: AU COMMENCEMENT IL Y AVAIT BOB - DIEU A MAL AU CRÂNE de Meg Rosoff
Sam 29 Sep 2012 - 15:13
je viens de l'acheter d'occasion
- JolinePlume de laine
- Age : 25
Messages : 52
Date d'inscription : 16/01/2013
Guyane
Emploi/Loisirs : 1° Sientifique
Re: AU COMMENCEMENT IL Y AVAIT BOB - DIEU A MAL AU CRÂNE de Meg Rosoff
Mer 16 Jan 2013 - 21:49
J'ai vraiment pas accrocher au fil de l'histoire, il est vraiment bof...
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